Qu’est-ce que la vivisection ?
La vivisection, est une dissection opérée sur un animal vertébré vivant,
à titre d'expérience scientifique, en particulier dans le but d'établir
ou de démontrer certains faits en physiologie ou en pathologie.
D'une manière générale, elle désigne toute opération chirurgicale invasive
à titre expérimental» et concerne d'abord les animaux.
Mais rappelons qu'elle a été pratiquée sur les humains, les prisonniers,
par les nazis et par les Japonais pendant la Seconde Guerre mondiale.
Parmi les antivivisectionnistes, les uns soutiennent que l'expérimentation
sur les animaux est scientifiquement inefficace et qu'il est possible de la remplacer
par d'autres méthodes, les autres jugent que l'expérimentation animale
doit être condamnée sur le plan de la morale, sans qu'on ait à savoir si
elle est utile ou non pour le progrès médical et scientifique.
Combien d’animaux en laboratoire ?
12 millions est le nombre officiel d’animaux «sacrifiés» chaque année
dans les laboratoires de l’Union européenne, des animaux toujours plus nombreux
à être utilisés dans les laboratoires européens (dont plus de 10 000 primates par an),
comme le signale le 6e rapport statistique européen publié à l’automne 2010.
À l’instar des précédents rapports, les rongeurs et les lapins représentent plus de 80% du nombre total d'animaux utilisés dans l'UE.
Les animaux à sang froid, tels que les reptiles, les amphibiens et
les poissons, sont la seconde catégorie d’animaux la plus utilisée
(9,6 %), suivis des oiseaux (6,3).
À quoi sont-ils utilisés ? Contrairement aux militants antivivisection
(parmi lesquels on trouve de plus en plus de scientifiques),
des biologistes et des médecins estiment que le recours à
l’animal est irremplaçable «lorsqu'il s'agit d'étudier simultanément les impacts nerveux, hormonaux et humoraux d'une pathologie sur
l'organisme.
Mais les recherches s'étendent aux cosmétiques, aux recherches spatiale, militaire...
De même, certains soulignent que plus l’intérêt économique est grand plus les moyens vous sont accordés. A savoir que la recherche en cosmétologie est la plus consommatrice d’animaux.
Pour une science sans violence :
Faut-il alors accepter que le soulagement de nos propres souffrances
ou notre besoin du "paraitre" s’effectue au détriment des animaux ?
Non bien sûr, car il existe des méthodes scientifiques, dites de substitution
ou alternatives qui permettent de remplacer l’expérimentation animale.
Depuis plusieurs décennies, des scientifiques développent ces méthodes,
principalement appliquées dans les domaines de toxicologie et de tests
d’innocuité des produits.
Parmi les méthodes substitutives les plus utilisées, on trouve les cultures
de cellules ou tissus (méthodes in-vitro) et les modèles mathématiques
et informatiques qui simulent les réactions des organismes vivants.
La recherche dans ces méthodes a connu un certain essor depuis une
dizaine d’années, non seulement sous la pression des défenseurs des animaux,
mais aussi sous l’impulsion de scientifiques progressistes qui,
ayant constaté l’inefficacité et les échecs de la vivisection, ont voulu
adopter d’autres méthodes de recherche.
Signez la pétition pour soutenir cette recherche :
http://www.one-voice.fr/petitions/petition-en-faveur-des-methodes-substitutives
Quand vous acheter vous avez le choix, liste des produits testé sur les animaux :
http://www.protection-des-animaux.org/produits/testes.php
Sources :
http://www.univers-nature.com/
http://www.vegetarismus.ch/
http://www.international-campaigns.org/
http://fr.wikipedia.org/
Ne rien faire ...
C'est Cautionner !!!