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19 janvier 2011 3 19 /01 /janvier /2011 08:20

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© afp

Plus de 25.000 hippocampes déshydratés et plusieurs milliers d'ailerons de requins voués à l'exportation illégale vers l'Asie ont été saisis jeudi à Lima, une cargaison d'une valeur marchande de 280.000 dollars (210.000 euros), a annoncé le ministre de la Production Jorge Villasante. 

La cargaison d'hippocampes, d'un poids global de 100 kilos environ, et quelque 200 kg d'ailerons de requins, y compris de spécimens juvéniles dont la pêche est interdite, se trouvaient dans des ballots de plastique dans une cinquantaine de caisses sur le point d'être expédiées par avion à Hong Kong. La saisie a été réalisée dans un entrepôt appartenant à un ressortissant chinois, près de l'aéroport international. 

L'hippocampe, menacé d'extinction et protégé par la Convention sur le commerce international des espèces sauvages (CITES), est prisé en Asie où on lui prête des qualités médicinales ou aphrodisiaques. Sa pêche est totalement interdite au Pérou depuis 2004. La pêche d'espèces marines protégées y est passible de deux à cinq ans de prison. (afp)

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DEVOLUTION

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19 janvier 2011 3 19 /01 /janvier /2011 07:42

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Un braconnier a été intercepté vendredi soir dans une zone enclavée du nord-est de Madagascar en possession de 32 lémuriens grillés, a annoncé lundi l'ONG environnementale malgache Fanamby.

Le braconnier a été interpellé par la police à l'entrée de Vohémar (700 km au nord-est d'Antananarivo), indique dans un communiqué l'ONG malgache, responsable de l'aire protégée Loky-Manambato située à proximité.
 
"L'homme a reconnu avoir au moins deux complices, que la police recherche activement", a précisé Serge Rajaobelina, président de Fanamby. La chasse aux lémuriens, dont plusieurs espèces sont menacées d'extinction ou sont en danger, est interdite par la loi malgache et passible de deux à cinq ans d'emprisonnement.
 
"Malgré la vigilance des communautés locales, sensibilisées depuis plusieurs années, la demande des consommateurs friands de viandes braconnées (tortues marines et lémuriens, ndlr) est en croissance dans les villes environnantes de Sambava et Antalaha, aux économies stimulées par le commerce illicite du bois de rose", a déploré l'ONG Fanamby.
 
"L'homme a été arrêté alors qu'il arrivait de la piste et allait entrer à Vohémar. Dans cette localité, on peut manger du lémurien dans de petits restaurants, même si ce n'est bien sûr pas officiellement à la carte", a expliqué M. Rajaobelina.
 
En 2009, Fanamby avait constaté un premier cas de trafic, suivi d'une arrestation. "Depuis, les trafiquants sont devenus plus vigilants sur la zone, opérant uniquement de nuit", précise le communiqué. 

 

Source: link

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DEVOLUTION

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22 décembre 2010 3 22 /12 /décembre /2010 04:18

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Novembre2009: Corme-Écluse, Charente-Maritime. Novembre 2010 : Bouillé-Loretz, Deux-Sèvres. Avec la bénédiction de saint Hubert, qui, c’est bien pratique, ne risque pas de leur reprocher de le retourner dans le mauvais sens… celui qui les arrange.


Le 28 novembre 2009, à Corme-Écluse (Charente-Maritime), après une messe de la Saint-Hubert, les équipages ont été bénis avant que démarre la chasse à courre, suivie par les habitants, certains à pied, d’autres à vélo ou encore en voiture — sortez les 4x4, parce que, quand même, un peu d’écologie, entre deux cartouches de plomb, c’est bon pour la planète. La bête traquée, et ainsi mise hors d’état de nuire, était un dangereux quadrupède: il s’agissait d’un lapin. Pardon, je me trompe, c’était un lièvre, animal beaucoup plus redoutable… Bravo, l’Église, bravo, la charité chrétienne.
Au Royaume-Uni, la chasse à courre est interdite depuis 2004. Le 16 décembre 2009, cette interdiction a reçu à Strasbourg « un plein et total soutien de la Cour européenne des droits de l’Homme, qui [a jugé] cette pratique ancestrale “cruelle” », nous apprenait l’AFP.
En novembre dernier, une chasse à courre a été organisée à Bouillé-Loretz par l’ACCA, Association communale de chasse agréée, avec célébration d’une messe de Saint-Hubert et bénédiction de la meute. La Convention Vie et Nature pour une écologie radicale, qu’on ne peut pas vraiment accuser d’être « cul-bénite », a réagi, par la voix de sa référente régionale, dans une lettre ouverte et commune aux élus locaux et à l’abbé Métais, qui a béni l’équipage :
« […] La chasse est en fait aujourd’hui un loisir, elle se décline comme une distraction qui consiste à traquer et tuer des animaux sauvages (ou d’élevage relâchés) étiquetés “gibier” pour les besoins de la cause ; […] nous assistons à une diversification et à une remise au goût du jour de formes de chasse archaïques et inadaptées, indignes de l’homme moderne du XXIe siècle. […]
La célébration de messes de Saint-Hubert, avec bénédiction des équipages de chasse à courre, en guise de validation, voire d’absolution, des futures exactions envers l’animal sauvage traqué, les chiens et chevaux souvent malmenés, le spectateur involontaire horrifié…, nous paraît en totale contradiction avec l’esprit religieux d’amour partagé pour toutes les créations, si humbles soient-elles, de Dieu ! D’ailleurs, saint Hubert lui-même n’a-t-il pas renoncé à chasser, lorsqu’un cerf lui apparut une croix entre les bois ? Le peintre Jan Brueghel a illustré ce célèbre repenti dans la glorieuse toile La Vision de saint Hubert […]. »
• www.ecologie-radicale.org 
• collectif pour l’abolition de la chasse à courre: 
www.abolitionchasseacourre.org 

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Mort Aux Chasseurs  !!!!

Avec Ma Bénédiction  

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16 décembre 2010 4 16 /12 /décembre /2010 15:13


 En décrétant le 4 juin dernier que «l’obstruction à la chasse» serait passible d’une peine contraventionnelle de cinquième classe, le gouvernement révèle d’une part sa soumission aux caprices farfelus d’un lobby, d’autre part son caractère fondamentalement réactionnaire.
Depuis 2002, la droite supprima le mercredi sans chasse qu’avait instauré la loi du 26 juillet 2000, rétablit la martre, le putois et la belette sur la liste des prétendus « nuisibles » dont les avait retirés un arrêté pris par Yves Cochet, aggrava les autorisations de chasse de nuit des oiseaux d’eau et de certains migrateurs terrestres, permit des tirs de loups, autorisa l’emploi de tendelles pour la capture des grives, multiplia les génuflexions et les hommages à sa majesté cynégétique. Or les chasseurs à courre ne supportent pas que de jeunes gens viennent les narguer lors de leurs chevauchées féodales. Encore, si ces militants de la cause animale avaient bien voulu commettre quelques violences légères, cela eût été excellent pour l’habituelle propagande mensongère sur le thème « les écologistes sont de dangereux terroristes ».
Par ailleurs, la moindre violence aurait permis aux autorités publiques sous influence de frapper ces contestataires irrespectueux de quelques « saigneurs » locaux parfaitement notabilisés ! Rien, hélas ! Pas d’agression, aucune contravention de violence légère à reprocher aux opposants aux véneries outragées. Alors les relais du lobby s’agitèrent au Parlement et obtinrent du gouvernement que la chasse française soit le premier loisir pénalement protégé, ce qui est sans exemple ni précédent. À ce stade, ce n’est plus du mépris mais de la compassion qu’inspirent ces politiciens réactionnaires qui sévissent en ce pays depuis trop d’années. Constatons, fait objectif, qu’une majorité de citoyens aspirent à l’abolition de la chasse à courre, persistance anachronique du temps des privilèges qui fut le temps de l’obscurantisme, de l’absolutisme royal. Ce folklore costumé ne serait que ridicule si l’enjeu n’en était pas la torture d’un animal traqué pendant des heures, mordu par les chiens, achevé à la dague. Mais la chasse et la démocratie ne font pas bon ménage.
Les 75% de Français hostiles à la chasse à courre ne pèsent rien face aux proximités sociologiques incestueuses entre le personnel politique conservateur et ce monde désuet. Aussi, la chasse demeure le champ des privilèges exorbitants du droit commun. Le décret du 4 juin ne fait que s’inscrire dans cette dérive. Cette veulerie gouvernementale sera-t-elle utile à ceux qui l’inspirèrent? Loin de là. Les manifestants contre les chasses à courre, militants de l’association DDA, Droits des animaux (www.droitsdesanimaux.net ), ne cesseront bien sûr pas de manifester, car la liberté à l’instar de la vie, ça se défend. D’une manière totalement pacifique, ils assumeront la révolte des consciences face à l’insoutenable. Peut-être seront-ils déférés devant le juge de police pour s’entendre appliquer la nouvelle contravention d’obstruction à la chasse les exposant, au grand maximum, à 1500 euros d’amende. Les principes généraux du droit offriront, pour les défendre, des éléments solides. L’accusation devra tout d’abord caractériser une infraction absurde. L’exception d’illégalité du décret sera invoquée, devant le juge du premier degré et, en cas de condamnation suspendue par l’appel, devant la cour. Puis, toujours dans l’hypothèse défavorable, devant la cour de cassation et après épuisement des voies de recours internes devant la Cour européenne des droits de l’homme. Les opposants éventuellement condamnés par les juges français pourraient arguer des dispositions des articles 9 et 10 de la Convention européenne des droits de l’homme, textes qui protègent la liberté de penser, de manifester des convictions, de les exprimer librement. Dès lors, conformément à sa mission et à sa jurisprudence, la haute cour de Strasbourg appréciera le rapport de proportionnalité des intérêts entre la liberté de manifestation pacifique d’une conviction et la liberté de « servir » la biche et le renard.
Beaux débats juridiques en perspective, et surtout grande lumière sur une activité qui parce qu’elle porte la mort n’aime guère cet éclairage. Parler d’un fait social, débattre à son propos, ne pas le laisser dans l’ombre s’imposent pour qu’intervienne le vrai jugement : celui de l’opinion publique. Ce ne sera plus: «silence, on tue» entre soi. Au fond, Jupiter rend fous ceux qu’il veut perdre. D’éventuelles poursuites contre des militants non violents feront plus de bruit que les trompes et sifflets des obstructeurs!

Amis des animaux et de la Nature, quelle que soit la médiocrité des candidats aux élections prochaines, n’oubliez pas de sanctionner ceux qui depuis des années font la preuve par la chasse de leur absolue nuisance.

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Agissez en Signant

La Pétition  !!!

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16 décembre 2010 4 16 /12 /décembre /2010 15:03






Les citoyens s’étonnent et protestent contre la grossière propagande prochasse que relaient quelques journalistes de France 2, cependant que d’autres s’offusquent d’apprendre que le président des chasseurs a été nommé par le gouvernement le 15 novembre dernier au Conseil économique et social.


Dans le même temps, des habitants de nos campagnes, victimes des exactions cynégétiques, découvrent qu’en milieu rural leur sécurité, leur quiétude, leurs droits fondamentaux sont bafoués au profit de la caste des porteurs de fusils qui occupe l’espace. Bien sûr, le fait de chasser sur le terrain d’autrui constitue une contravention de cinquième classe, mais combien de procès-verbaux sont-ils dressés chaque année? Le tir par arme à feu en direction des habitations et à portée de fusil est prohibé, ainsi que le tir sur les routes et chemins publics. Mais quelle répression salutaire sanctionne ces manquements?
Ortolans et pinsons figurent sur la liste nationale des espèces protégées dont la destruction intentionnelle constitue un délit correctionnel. Très bien. Mais qui rappellera la loi aux quelques centaines de braconniers landais qui, au vu et su des autorités tolérantes, piègent ces petits oiseaux que tout homme hominisé protège et nourrit en hiver? L’argent public fut affecté massivement à des « plans ours » dans les Pyrénées. Il fallait le faire. Mais ceux qui furent les bénéficiaires de cette générosité citoyenne s’évertuèrent à ne protéger qu’une espèce, très «nuisible»: le tueur d’ours.
Des députés français déposent régulièrement, histoire de faire plaisir aux protecteurs des animaux, des propositions de loi éclairées, progressistes, généreuses, portant l’abolition de la torture tauromachique ou cynégétique, propositions de loi qui ne seront jamais débattues par ce Parlement. Bravo. Mais pourquoi ces élus s’abstiennent-ils prudemment d’intervenir lorsque leurs collègues fossilisés délirent pour la chasse en faveur de laquelle une loi nouvelle est adoptée tous les 18 mois? Seuls deux députés Verts protestent contre les dérogations, faveurs et avantages conférés à ceux qui par le fusil ou les grands travaux endeuillent la Nature.
À la tête de l’État, parmi les ministres, dans les assemblées parlementaires, les taste-mort ont leurs zélés défenseurs qui gardent jalousement les privilèges féodaux d’infimes minorités imposant leurs lois à une large majorité ignorante des turpitudes du Pouvoir aux ordres des lobbies contre Nature. Face à cette dictature de fait, seule une attitude de fermeté doit prévaloir. Ce défaut de fermeté de la part des protecteurs du vivant explique nos constants échecs des trois dernières décennies.
Depuis la grande loi 76629 du 10 juillet 1976, relative à la protection de la Nature, aucun progrès n’est intervenu en ce pays, si l’on exclut les avancées imposées par des directives européennes. Simple exemple, pour évoquer la mort loisir, une réforme (j’emploie ce terme non pas dans son acception dévoyée de Régression) s’impose avant toute autre : démanteler les structures corporatistes de la chasse héritées de l’ordonnance Pétain du 28 juin 1941, publiée au Journal officiel de l’État français du 31 juillet, ayant créé les sociétés départementales des chasseurs. En effet, à l’instar de toute activité, ce loisir doit s’organiser en libres et concurrentes associations. Dès lors, privé d’une représentativité artificielle et des moyens financiers corrélatifs, le monde de la chasse n’apparaîtra plus que pour ce qu’il est: une troupe vieillissante en cours de marginalisation.
Par-delà la mort loisir, le respect des animaux, la récusation de la cruauté en général, passent par une politisation du problème. La cause du vivant est un enjeu éthique, donc politique. Car il ne s’agit pas de nourrir une vision purement animalière. L’empathie englobe l’ensemble des êtres sensibles, incluant l’humain, surtout lorsque par son âge, sa faiblesse, il s’avère vulnérable et s’expose à l’exploitation et à la cruauté des hommes non encore hominisés.
Rien n’évoluera sans un changement de la composition partisane des assemblées, car, dans le silence, subrepticement, les lobbies de la mort et de «l’aménagement du territoire» gangrènent l’État conservateur, termites infestant le Parlement, l’exécutif, des organes de presse propriétés privées d’intérêts nocifs.
Rares sont les médias, tel Charlie Hebdo, échappant à l’imposture de la propagande.
Le changement salutaire viendra-t-il bientôt?
La voix claire, ferme et sereine du biocentrisme, chère à notre regretté ami Jean-Claude Hubert, percera-t-elle bientôt le mur de la honte que lui opposent les censeurs?

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Nous régnerons Aussi !!!

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16 décembre 2010 4 16 /12 /décembre /2010 14:17
Un partenariat signé le 4 mars entre Luc Chatel, Jean-Louis Borloo et la Fédération nationale de la chasse permet aux amateurs d’armes d’entrer dans les écoles pour donner des leçons de « développement durable » aux enfants. L’ASPAS et de nombreux enseignants réclament l’arrêt immédiat de ces opérations illégales, immorales et inutiles. C’est ça, le Grenelle de l’Environnement ?

La propagande du lobby des chasseurs dans les écoles s’est officialisée il y a vingt ans avec les états Généraux de la chasse en 1990, puis en 1993 avec le colloque « Animations en milieu scolaire ». Depuis cette époque l’ASPAS, soutenue par de nombreux enseignants, n’a eu de cesse de freiner ces grandes ambitions, et au fil des années ces opérations s’étaient essoufflées. Mais le 13 et le 14 octobre, deux articles de journaux ont remis le feu aux poudres. Dans l’un, une animatrice embauchée par une fédération des chasseurs a cherché à convaincre qu’il est « utile de tirer sur les animaux ; l’autre décrit un cours de SVT particulier : « montrer la chasse et en donner le goût à des enfants ». Une cinquantaine d’associations, dont l’ASPAS, co-signe alors une lettre ouverte adressée au ministre de l’éducation Nationale Luc Chatel : « Stop aux interventions des chasseurs en milieu scolaire ! ». On connaît la suite. 
 
Les chasseurs n’ont aucune légitimité pédagogique. Leur passion de la chasse et leur concurrence avec les prédateurs naturels leur donne une vision déformée de la faune, qu’ils partagent entre « nuisibles » et « gibier ». Les chasseurs ne sont pas des biologistes et n’ont pas de compétence pour décrire un écosystème dans sa globalité. Leur opposition aux mesures de protection de la biodiversité, leur opposition aux ours et aux loups, leur absence dans les combats pour la défense des animaux sauvages, leurs contentieux quasi quotidiens contre les protecteurs ne rend pas leur discours « écologique » crédible.


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Pour plus d'informations
✓ Télécharger la convention signée entre le ministre de l'Education nationale, le ministre de l'Ecologie et la Fédération nationale des chasseurs : 
 
✓ Télécharger la note de service du 30 avril 1985 parue au Bulletin Officiel, sur la "Protection de l'animal", rédigé par le directeur général des enseignements scolaires :

 ✓ Télécharger la lettre adressée à Luc Chatel, cosignée par une cinquantaine d'associations en octobre 2009 : 

 ✓ Télécharger l'ancien dossier de l'ASPAS (1990) sur l'intervention des chasseurs en milieu scolaire : pdf dossier_aspas_chasse-ecoles_1990 838.08 Kb  

Liens 

Le Blog de Gudule :

Vos gueules les momes n°40  

Petite réflexion matinale 

 Site internet RAC : http://www.antichasse.com/

L’ASPAS en action L’ASPAS en action :
✓ dénonce le prosélytisme des chasseurs et en informe l'opinion publique à travers des communiqués de presse et le magazine Goupil.
✓ réclame l'arrêt immédiat de ces opérations illégales, immorales et inutiles.
✓ crée un collectif "NON aux chasseurs dans les écoles !" afin d'interpeller les médias et les institutions (communes, départements, régions, ministère …) susceptibles de relayer cette propagande, qu’un grand nombre d’enseignants et de citoyens français ne souhaitent pas que leurs élèves ou leurs enfants soient instrumentalisés au profit d’un lobby.


pucecequevouspouvezfaireAgissez !


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Télécharger le dépliant"NON aux chasseurs dans les écoles !"

 pdf depliant-collectif 823.47 Kb

Signez la pétition en ligne : Cliquer ici

Signer et diffuser la pétition "NON aux chasseurs dans les écoles !"Vous pouvez la recevoir contre un timbre en la demandant à l’ASPAS ou la télécharger

pdf petition-chasse-ecole 182.22 Kb

Diffuser nos idées autour de vous, car certains médias n'hésitent pas à encenser ces interventions scandaleuses.

Avertissez-nous des projets en cours, envoyez-nous les coupures de presse sur les opérations de propagande avec la date et le nom du journal à : ASPAS - BP505 - 26400 CREST Cedex.

Intégrez le collectif "NON aux chasseurs dans les écoles !" (associations, syndicats, enseignants ... : voir les associations membres : pdf membres-collectif 95.36 Kb) : Complétez la charte ci jointe et envoyez-la à : ASPAS - BP505 - 26400 CREST Cedex. pdf charte-collectif 866.90 Kb

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                  Agissez !!!

 

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16 décembre 2010 4 16 /12 /décembre /2010 14:07

 Depuis plus de vingt ans, les populations de tétras-lyres ne cessent de régresser en France. Classés «espèce en déclin» sur la liste rouge des oiseaux de France, les «petits coqs de Bruyère» ont perdu près de 50% de leurs effectifs en France depuis les années 70.


Ainsi, leur disparition dans les Ardennes est considérée comme inéluctable. Dans le massif alpin, les effectifs sont en constante régression, et s’écroulent dans certaines zones (- 70% en vingt ans). Cet oiseau montagnard, très fragile, est menacé par le développement des activités humaines telles que le tourisme, le surpâturage, les sports et loisirs «de nature», les aménagements routiers en montagne qui détruisent son habitat et morcèlent son aire de répartition. Pourtant, la pression exercée par le lobby cynégétique conduit au maintien de la chasse de cette espèce en voie de disparition, sur sept des neuf départements français où elle est présente, dans les zones Natura 2000, et même dans les réserves naturelles de la Région Rhône-Alpes. Forte de ces constats, l’ASPAS, Association pour la protection des animaux sauvages, a demandé l’intervention du Conseil de l’Europe en saisissant le comité permanent de la Convention de Berne (Convention relative à la conservation de la vie sauvage et du milieu naturel de l’Europe, 1979).
Devant cette situation alarmante, le comité, lors de sa réunion annuelle du 6 au 9 décembre 2010, a enjoint l’État français à produire un rapport sous deux ans sur la situation du tétra-lyre en France. Ce rapport permettra de mettre en exergue le déclin de cette espèce et l’absence totale de réaction appropriée de la part de l’État français qui continue d’autoriser des actes de destruction directs sur une espèce en mauvais état de conservation. Ce gouvernement bafoue même les avis des scientifiques à ce sujet : le préfet de la Drôme vient de mettre un terme au moratoire de la chasse au tétra-lyre sur la réserve des hauts plateaux du Vercors, qui avait été demandé par le Conseil scientifique de la réserve. Moratoire qui avait été avalisé par le CSRPN (Conseil scientifique régional de protection de la nature)!
L’ASPAS dénonce le soutien inconditionnel apporté aux chasseurs par les pouvoirs publics sur tous les dossiers, y compris ceux concernant les espèces en très mauvais état de conservation. Voilà une bien curieuse façon que l’État français a choisie pour clore l’année de la biodiversité.
L’ASPAS salue le Conseil de l’Europe pour le sérieux avec lequel il suit ce dossier.
Pierre Athanaze
Président de l’ASPAS
• www.aspas-nature.org

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DEVOLUTION 

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23 novembre 2010 2 23 /11 /novembre /2010 07:26

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Ce n'est pas un Scoop !!!!

 

Tout le monde sais bien que depuis le 04 Juin 2010

 

Gêner une Chasse est Puni de 1500€ D'Amande  !!!!

 

Voici un Reportage, montrant une Action D'Anti-Chasse

 

En plus de L'Amande, ces Défenseurs D'Animaux Risque le Pénal

 

(Amande Catégorie 5 + Violation de Proptiété + Eco-Terrorisme)

 

Documentaire 

 

 

 

 

Qui Sont les plus Violents  !!!!

 

Qui Sont les plus Dangereux !!!!

 

Texte du Décret: (link)

 

Je me pose une Question  !!!!

 

Un Président à t'il le Pouvoir de Protéger ses Loisirs

 

Et Une Infime Partie de son Electorat  !!!!

 

En Créant des Décrets de Complaisance  !!!!

 

Non au Décret du 04 Juin 2010


Pénalisant Sévèrement les Défenseurs D'animaux !!!!

 

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 (link)

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DEVOLUTION

 

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23 novembre 2010 2 23 /11 /novembre /2010 07:07

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A Voir  !!!!

 

Débat Anti Chasse

 

Je Vous Laisse Juger

 

Le projet de Complaisance y est Traité

 

Je vous laisse Seuls Juges du Niveau de Connerie

 

Des Chasseurs et de Ceux qui Gouvernent  !!!

 

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Empêcher de Tuer
Est un Devoir Civique  !!!
Non Au Décret de Complaisance 
du 04 Juin 2010  !!!!

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Chasse  =  DEVOLUTION

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23 novembre 2010 2 23 /11 /novembre /2010 06:57
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Le Roman des  chasses de la République

De Gaulle venait sans tirer,
Pompidou et Giscard les adoraient, Mitterrand et Chirac les boudaient.
Sarkozy les supprime. Mais elles ne mourront jamais.




La nuit tombe sur Chambord. Dans quelques minutes, les invités se rendront au cocktail. Pour l’heure, les
chasseurs - riches industriels, hommes politiques ou personnalités
étrangères - se rassemblent pour rendre les derniers honneurs aux
sangliers tués dans la journée. Devant eux, sur un lit de branchages,
les bêtes sont alignées selon leur taille. A leurs côtés, les rabatteurs
tiennent les flambeaux pour éclairer le "tableau" de cette chasse
présidentielle. Les sonneurs - bottes noires, redingote et bombe sur la
tête - font retentir leur trompe. Les gardes républicains à cheval
complètent ce décorum. Les regards, eux, sont tournés vers l’horizon :
au loin, le soleil se couche sur le château de François Ier.

Ce spectacle risque de disparaître. Pour réduire les dépenses publiques, Nicolas Sarkozy vient d’annoncer la
suppression des chasses présidentielles. Ne subsisteront, à Chambord,
que des battues de sangliers destinées à réguler le gibier peuplant les
5.000 hectares de ce domaine clos, grand comme la moitié de Paris. Des
parties de chasse toujours très convoitées. Qui attirent des patrons du
CAC 40, le directeur général de la police nationale Frédéric Péchenard,
des socialistes comme Pierre Joxe, Michel Charasse, des élus de droite
tel David Douillet… Voire des non-chasseurs comme Roselyne Bachelot,
Christine Boutin ou Maurice Leroy. Le tout dans la plus grande
discrétion. La consigne est tacite : pas de noms, pas de photos.

Les chasses présidentielles ont toujours été un lieu de pouvoir. Les chefs d’Etat de la Ve République
l’ont vite compris. De Gaulle, le premier. Même s’il ne chasse pas, le
Général vient assister aux battues de Rambouillet - autre domaine de
chasses présidentielles. Posté derrière ses invités, il commente
ironiquement, dit-on, les tirs manqués: "Encore raté!" Les
parties de chasse prennent une autre dimension avec son successeur
Georges Pompidou, qui, lui, participe régulièrement aux traques de
Chambord. Ses conseillers, Pierre Juillet et Marie-France Garaud,
veillent sur ce trésor. C’est l’époque des grands travaux :
désensablement et remise en eau des douves, rénovation du mur d’enceinte
et achèvement du canal pour disposer d’une vue magnifique sur le
château.



"Giscard d’Estaing était insatiable et jaloux"

Pompidou y retrouve régulièrement le même petit cercle d’initiés : parmi eux, Serge Dassault, Alain
Peyrefitte, le baron Elie de Rothschild, le résistant et député Claude
Hettier de Boislambert, et bien sûr son ami l’industriel François Sommer
et sa femme. Les chasses sont autant d’occasions pour des rencontres
informelles. Parfaites pour nourrir quelques conversations privées et
parler affaires, autour d’un verre le soir, ou, au besoin, dans la Land
Rover du Président entre deux battues.

Jusqu’au bout, Pompidou reste fidèle à cet endroit magique. Quelques semaines avant sa mort, il y chasse
pour la dernière fois. L’atmosphère est pesante. Ce jour-là, à l’heure
du déjeuner, le Président se tient seul. D’habitude les invités se
pressent autour de lui. La journée n’est pas bonne: le Président n’abat
aucun sanglier… Son successeur, Valéry Giscard d’Estaing, profite lui
aussi de sa passion pour soigner ses relations publiques. Il convie à
ses chasses le futur roi d’Espagne Juan Carlos, le duc d’Edimbourg et de
nombreux chefs d’Etat africains qui l’invitent en retour à des safaris.
Tout est minutieusement préparé. Des motards de la République,
raconte-t-on, remettent les invitations aux différents convives. La
veille de leurs arrivées, les services de Chambord reçoivent les
dernières consignes par fax: "On savait, pour la première traque, qui
devait être placé à droite et à gauche du Président dans la voiture,
idem pour les suivantes.
" Le soir, contrairement à l’ère Pompidou, chacun a une place assignée à la table du Président.

Ce dernier soigne ses invités, mais tend à se réserver la meilleure place lors des battues. "Giscard d’Estaing était insatiable et jaloux. Il ne supportait pas qu’un invité réussisse mieux que lui",
raconte un ancien du domaine. Cette image de grand chasseur, armé d’une
paire de Purdey, la rolls des fusils, a pu lui nuire. Et nourrir de
nombreuses légendes: le Président débarquerait parfois en hélicoptère.
Se ferait exceptionnellement servir par du personnel en perruque et en
costume Grand Siècle. Lors de l’attentat de la rue Copernic en 1980, il
aurait mis plusieurs jours à réagir, trop occupé à chasser.

Quand François Mitterrand prend le pouvoir, il songe d’abord à supprimer ces chasses entre privilégiés.
Mais les ligues de chasseurs, les agents de l’ONF et des politiques l’en
dissuadent. "Tous les chasseurs ne sont pas des viandards, allons", plaide son frère Philippe, un grand tireur. Et son ami François de Grossouvre argumente: "Savez-vous que de Gaulle avait fait des chasses présidentielles un lieu de pouvoir essentiel?" Mitterrand capitule. Et nomme Grossouvre, fondu de chasses et collectionneur d’armes, "président du comité des chasses présidentielles"*.

L’homme à la rose ne vient jamais: il n’aime pas la chasse. Quand un faisan tué s’abat sur Grossouvre et
lui casse une côte, il commente, acerbe: "Que voulez-vous, la nature s’est vengée!"
Pourtant, rien n’échappe à Mitterrand. D’octobre à décembre, on lui
soumet chaque semaine une liste prévisionnelle d’invités. Le Président
raye parfois un nom, puis valide au stylo: "Vu, F. M." Dans ce
répertoire, de grands industriels comme Serge Dassault, Roland Peugeot
et toute une série de ministres africains et du Moyen-Orient. On croise
le prince du Maroc ou le frère du président syrien Rifat el-Assad, qui,
au cours d’une fausse manœuvre, faillit blesser Francis Bouygues.

Le prince Rainier de Monaco, remarquable tireur, s’y rend avec ses filles, que Grossouvre regarde
d’un œil admiratif… On y voit aussi des politiques comme Michel
Charasse, Charles Hernu, Gaston Defferre qui vient avec son professeur
de ball-trap, René Monory, l’ancien garagiste devenu président du Sénat,
intarissable sur ses souvenirs de rallyes automobiles… L’occasion de
nouer des contacts. De vendre éventuellement quelques Mirage. De trouver
des financiers pour débloquer un projet. Sans faire de bruit. Le
socialiste ne souhaite pas afficher ouvertement ce qui ressemble à une
survivance de la monarchie. 



Kadhafi exige une chasse dans la forêt de Rambouillet

A Rambouillet et à Marly, chaque invité - ils sont une douzaine par chasse - a un agent de l’Office
national des forêts à sa disposition. Quelqu’un chargé de lui passer son
deuxième fusil et les cartouches à tirer. Chargé également d’assurer sa
sécurité. Indispensable quand certains diplomates aiment tirer le fusil
sur la hanche! "C’étaient des chasses grandioses. On faisait voler de jolies quantités d’oiseaux",
explique Jean-Paul Widmer, le directeur des chasses présidentielles de
l’époque. Imaginer des centaines de faisans s’envolant dans un ciel
d’automne. Des oiseaux lâchés dans le parc vingt-quatre jours après leur
naissance à la faisanderie du domaine, rabattus par 80 personnes, et
s’élevant au-dessus des buissons soigneusement taillés. Résultat: 600
oiseaux tirés en moyenne. Là aussi, les tableaux de chasse sont soignés.
Quand le prince du Danemark est de la partie, on dessine le blason
danois avec le gibier.

Un cérémonial qui peut choquer les non-initiés. En 1995, Jacques Chirac, pressé par sa fille Claude et
Brigitte Bardot, annonce la suppression des chasses présidentielles. Le
contraste est trop grand avec son slogan de 1995 sur la fracture
sociale. Les tirées présidentielles disparaissent à Rambouillet et à
Marly-le-Roi (Yvelines). Il ne reste que Chambord et ses "battues de régulation". Du moins officiellement. "Les
chasses présidentielles n’ont jamais disparu, assure René Souchon,
ancien du comité des chasses présidentielles, devenu président de
l’Office national des forêts jusqu’en 1995. Je me suis vu imposer
plusieurs invités par l’Elysée.
" Lors de sa visite en France en

2007, le colonel Kadhafi exige par exemple qu’on lui organise une partie
de chasse dans la forêt de Rambouillet.

Les chanceux qui ont participé aux traques de Chambord relativisent. "C’était une chasse tout ce qu’il y a de plus normal. On mange beaucoup mieux
ailleurs, raconte un convive. Ici, ce qui est fabuleux, c’est le cadre
et l’organisation!
" Fin 2009, Pierre Charon, nommé président du

domaine national de Chambord, rêve de redonner à ces parties de gâchette
leur lustre d’antan. Six mois plus tard, le couperet tombe: les chasses
présidentielles sont supprimées. En principe. "Cela ne fermera
jamais, pronostiquent les connaisseurs. Il faudra toujours tuer du
gibier. Il y aura encore des chasses, peut-être avec moins de faste.
"

Certains sont même prêts à faire des efforts, comme le vice-président
du groupe chasse à l’Assemblée Patrice Martin-Lalande, député UMP de
Loir-et-Cher: "On peut faire des économies sur les réceptions. Je suis même prêt à venir avec mon sandwich."

*Le Dernier Mort de Mitterrand, Raphaëlle Bacqué, Grasset. 

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Empecher de Tuer

Est un Devoir Civique

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